Avec un potager urbain de 10m², il dépasse l’autosuffisance !

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 vit dans une petite maison pavillonnaire de la banlieue de San Francisco. Il y a deux ans, il décide de créer sur sa pelouse un petit potager urbain. Ce jardin qu’il pensait très restreint, s’est en fait révélé être très productif !

Quand Luke Keegan s’est lancé dans l’aventure maraîchère, c’était surtout pour soutenir un mouvement de potager urbain débuté au Canada et qui connaissait des problèmes juridiques. Il a décidé de faire de sa pelouse un lieu de cultures et de partage. Photographe de métier, il ne connaissait rien à l’agriculture urbaine.
Son projet de potager urbain lui a pris 2 mois pour sa mise en place. Il s’est formé auprès d’amis qui avaient une certaine expérience dans la permaculture et le jardinage biologique. Puis durant les week-ends il a aménagé la structure de son potager. Il a décidé de le cultiver en buttes pour économiser de l’eau, de mettre des copeaux de bois dans les allées et d’installer un système d’irrigation autonome et peu gourmand en eau.
Après avoir mis en place toute l’infrastructure, il a commencé à planter, entretenir puis récolter des fruits et légumes. Il a débuté par des radis et épinards. Il confie que la pratique du jardinage lui a permis de rencontrer ses voisins qui s’arrêtent discuter 5 minutes en le voyant jardiner mais aussi de partager et échanger des graines et savoir-faire.
Plus qu’une expérience de jardinage, c’est aussi une aventure humaine, Luke explique qu’il «  ne peut pas dire combien de personnes, dans le quartier, il a rencontré tout en travaillant dans son potager urbain ».
2 ans après, sur 10 m² il récolte plus de fruits et légumes qu’il ne peut en manger ! Il propose donc son excédent gratuitement à ses voisins en déposant dans sa cour des caisses affichant « free veggies », en français « fruits et légumes gratuits ».


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