Les ordinateurs néfastes au développement
Une chercheuse estime que les ordinateurs sont néfastes au développement cérébral des ados. Les menus prédéfinis des PC influencent la constitution des facultés de réflexion. Et les utiliser provoque une dépendance.
Les ordinateurs seraient néfastes au développement cérébral des jeunes personnes, selon l'une des scientifiques britanniques les plus éminentes, dont le Sunday Times rapporte dimanche les dernières recherches.
La baronne Greenfield, qui est à la pointe de la recherche contre les maladies d'Alzheimer et de Parkinson, soutient que l'utilisation intensive des ordinateurs affecte le cerveau des plus jeunes, dans un livre intitulé "ID: The quest for identity in the 21ste century".
Dopamine et dépendance
Le recours trop fréquent à des menus prédéfinis, dont le caractère fixe se distingue des possibilités infinies de l'existence réelle, ou le recours à des phrases sans verbes peuvent avoir une influence au moment de la constitution des facultés de réflexion, selon elle.
La baronne met également en cause la grande quantité de dopamine libérée par l'utilisation des ordinateurs, une substance qui intervient dans de nombreuses dépendances. La dopamine affaiblirait la conscience de ses propres actes, selon la scientifique, qui en conclut même que les ordinateurs peuvent dès lors affecter l'identité.
Belga
Les ordinateurs seraient néfastes au développement cérébral des jeunes personnes, selon l'une des scientifiques britanniques les plus éminentes, dont le Sunday Times rapporte dimanche les dernières recherches.
La baronne Greenfield, qui est à la pointe de la recherche contre les maladies d'Alzheimer et de Parkinson, soutient que l'utilisation intensive des ordinateurs affecte le cerveau des plus jeunes, dans un livre intitulé "ID: The quest for identity in the 21ste century".
Dopamine et dépendance
Le recours trop fréquent à des menus prédéfinis, dont le caractère fixe se distingue des possibilités infinies de l'existence réelle, ou le recours à des phrases sans verbes peuvent avoir une influence au moment de la constitution des facultés de réflexion, selon elle.
La baronne met également en cause la grande quantité de dopamine libérée par l'utilisation des ordinateurs, une substance qui intervient dans de nombreuses dépendances. La dopamine affaiblirait la conscience de ses propres actes, selon la scientifique, qui en conclut même que les ordinateurs peuvent dès lors affecter l'identité.
Belga