Les propriétaires des grands médias en France (Le Monde diplomatique, décembre 2016)
sourceLe Monde diplomatique, décembre 2016):
Cliquez ici
pour voir la carte
Cette affiche prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité.
Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui dépendent d’intérêts industriels ou financiers, de groupes de presse ou de l’État : publications généralistes nationales, quotidiens régionaux, audiovisuel national (et quelques chaînes de télévision locales).
Les journaux départementaux, les titres indépendants (comme Le Canard enchaîné) ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires.
Conception : Jérémie Fabre / Documentation : Marie Beyer et Jérémie Fabre
Adaptation : Guillaume Barou, avec Boris Séméniako et Cécile Marin
'via Blog this'
Cliquez ici
pour voir la carte
Cette affiche prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité.
Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui dépendent d’intérêts industriels ou financiers, de groupes de presse ou de l’État : publications généralistes nationales, quotidiens régionaux, audiovisuel national (et quelques chaînes de télévision locales).
Les journaux départementaux, les titres indépendants (comme Le Canard enchaîné) ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires.
Conception : Jérémie Fabre / Documentation : Marie Beyer et Jérémie Fabre
Adaptation : Guillaume Barou, avec Boris Séméniako et Cécile Marin
et le Monde Diplomatique ? appartient à qui ?
le « Diplo » a acquis progressivement son autonomie. À la suite de l'accession à la direction du Monde de Jean-Marie Colombani, il en devient en 1996 une filiale à hauteur de 51 %.
Le reste du capital est détenu par l'association des Amis du Monde diplomatique représentant les lecteurs (25 %) et par l'équipe rédactionnelle du journal (24 %) regroupée au sein de l'Association Günter-Holzmann, du nom d'un généreux donateur qui permit le lancement de cette opération. Ensemble, ces parts sont supérieures à la minorité de blocage (33,34 %) et confèrent au journal une relative indépendance politique vis-à-vis du groupe Le Monde. Par exemple, le directeur de la publication n'est éligible que sur proposition du personnel du journal.
Bien que l'indépendance économique du Monde diplomatique vis-à-vis du groupe Le Monde soit limitée, la ligne éditoriale du journal est devenue largement autonome de celle du quotidien depuis l'arrivée de Claude Julien à la direction de la rédaction en 1973. Par ailleurs, le « Diplo » affirme préserver sa ligne éditoriale vis-à-vis des pressions des annonceurs en limitant la part de ses revenus générée par la publicité. De fait, la part de revenu provenant de la publicité est limitée à 5 %, chiffre largement inférieur à la moyenne de la presse française, qui tire entre 40 et 50 % de son chiffre d’affaires de la publicité.
Une équipe de neuf journalistes permanents (en 2006) assure la rédaction d'une petite partie des articles, la majorité étant écrite par des journalistes indépendants ou des intellectuels (universitaires, écrivains) d'origines et de nationalités variées.
C’est aujourd’hui une filiale indépendante du Groupe Le Monde. En 2007, l’édition française tire à une moyenne de 240 000 exemplaires, tandis que le tirage de ses quarante éditions internationales en vingt-six langues s’élève à 2,4 millions d’exemplaires2. À ce titre, Le Monde diplomatique est le mensuel français dont les articles sont les plus diffusés dans le monde
(sourcewikipedia Monde_diplomatique )
le « Diplo » a acquis progressivement son autonomie. À la suite de l'accession à la direction du Monde de Jean-Marie Colombani, il en devient en 1996 une filiale à hauteur de 51 %.
Le reste du capital est détenu par l'association des Amis du Monde diplomatique représentant les lecteurs (25 %) et par l'équipe rédactionnelle du journal (24 %) regroupée au sein de l'Association Günter-Holzmann, du nom d'un généreux donateur qui permit le lancement de cette opération. Ensemble, ces parts sont supérieures à la minorité de blocage (33,34 %) et confèrent au journal une relative indépendance politique vis-à-vis du groupe Le Monde. Par exemple, le directeur de la publication n'est éligible que sur proposition du personnel du journal.
Bien que l'indépendance économique du Monde diplomatique vis-à-vis du groupe Le Monde soit limitée, la ligne éditoriale du journal est devenue largement autonome de celle du quotidien depuis l'arrivée de Claude Julien à la direction de la rédaction en 1973. Par ailleurs, le « Diplo » affirme préserver sa ligne éditoriale vis-à-vis des pressions des annonceurs en limitant la part de ses revenus générée par la publicité. De fait, la part de revenu provenant de la publicité est limitée à 5 %, chiffre largement inférieur à la moyenne de la presse française, qui tire entre 40 et 50 % de son chiffre d’affaires de la publicité.
Une équipe de neuf journalistes permanents (en 2006) assure la rédaction d'une petite partie des articles, la majorité étant écrite par des journalistes indépendants ou des intellectuels (universitaires, écrivains) d'origines et de nationalités variées.
C’est aujourd’hui une filiale indépendante du Groupe Le Monde. En 2007, l’édition française tire à une moyenne de 240 000 exemplaires, tandis que le tirage de ses quarante éditions internationales en vingt-six langues s’élève à 2,4 millions d’exemplaires2. À ce titre, Le Monde diplomatique est le mensuel français dont les articles sont les plus diffusés dans le monde
(sourcewikipedia Monde_diplomatique )
'via Blog this'