La Gear Live de Samsung et la G Watch de LG sont disponibles en précommande sur Google Play. Reste à savoir si ces premières montres intelligentes équipées du système d'exploitation Android Wear rencontreront leur public.
Google, en association avec Samsung et LG, dame le pion à Apple sur le marché des montres connectées. Alors que le lancement de l'iWatch est attendu pour le mois d'octobre, les groupes sud-coréens Samsung et LG ont pris de l'avance en dévoilant mercredi leurs montres intelligentes, qui fonctionnent avec le nouveau système Android Wear de Google.
La Gear Live de Samsung et la G Watch de LG seront les premières montres intelligentes équipées du système d'exploitation Android Wear disponibles. Il est déjà possible de les précommander dans douze pays, dont les États-Unis, la France et le Japon, sur la boutique en ligne de Google, Google Play, à partir de 199 euros. Le géant du Web ne précise toutefois pas à quelle date ces objets seront envoyés. Les deux montres seront ensuite vendues en magasin dans 27 pays début juillet. Celle de Motorola, la Moto 360, elle aussi équipée d'un système d'exploitation Android, sera également en vente cet été.
Ces deux montres ont été imaginées comme des accessoires des téléphones Android. Les utilisateurs de smartphone regardent leurs écrans en moyenne plus de 120 fois par jour. Le recours aux montres connectées leur facilitera l'existence et son utilité «dans un monde multiécran», plaide Google. La Gear Live de Samsung et la G Watch de LG affichent notamment les notifications reçues sur les smartphones, ainsi que des informations contextuelles. Grâce au système de reconnaissance vocale de Google, on pourra aussi gérer sa messagerie électronique, envoyer des messages texte et de surfer sur Internet sur simple commande vocale. En revanche, les deux montres ne permettront pas de téléphoner.
«Google a un gros avantage sur ses concurrents: ils collaborent avec de nombreux groupes sur les projets des objets connectés», explique Geoff Blaber, un expert de l'industrie mobile, au Financial Times. «Comme on a pu observer sur les tablettes, plusieurs générations de produits vont être lancées avant que les consommateurs ne s'y intéressent vraiment, et sur ce point Apple a une longueur d'avance», ajoute l'analyste.
Les spécialistes ajoutent que le succès des montres connectées dépendra de la capacité de ces objets à rendre de nouveaux services utiles. «À l'instar d'Apple, qui s'investit dans les applications dédiées à la santé pour préparer le lancement de sa montre connectée, le succès des objets connectés sera lié au déploiement d'un environnement d'applications qui rendront utiles l'utilisation de ces objets et préparera ainsi les consommateurs à les acheter», souligne Carolina Milanesi, analyste mobile chez Kantar.
Pour l'heure, les clients ne se bousculent pas. La première montre connectée de Samsung, la Galaxy Gear, lancée l'an dernier sous Android, a été timidement reçue par les consommateurs, tout comme la deuxième version, Gear II, opérant sous son propre système d'exploitation, Tizen. Au total, près de 2 millions de montres connectées ont été écoulées dans le monde en 2013, contre un peu plus de 1 milliard de smartphones vendus la même année.
La généralisation n'a jamais eu lieu, bien au contraire : le nombre de communes utilisant des machines à voter a régressé depuis 2007, passant de 84 à 64, soit de 1,5 million à un million d'électeurs concernés, d'après les chiffres de l'Association des maires de France . En mars 2008, après un premier bilan mitigé du Conseil constitutionnel, le ministère de l'intérieur a gelé la liste des communes autorisées à utiliser des machines à voter , et fixé de nouvelles règles contraignantes pour leur utilisation. "On a un peu diabolisé les machines à voter" , se désole Hervé Palisson, le directeur de France élection, le principal distributeur de ces machines en France. "Certaines villes qui avaient choisi nos équipements, comme Lorient, en ont eu assez des polémiques au sein du conseil municipal et du harcèlement d'une poignées de citoyens." La ville utilise les machines pour certaines élections, mais pas de manière systématique. Depui...
Dernière mise à jour : version 20.2, Avril 2025 Ce graphique prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui, pour la plupart, dépendent d’intérêts industriels ou financiers, ou de l’État : publications (principalement) généralistes nationales, quotidiens et hebdomadaires régionaux, médias en ligne, audiovisuel national et quelques chaînes de télévision locales. Les titres et groupes de presse indépendants ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires et décideurs. Documentation et réalisation : Le Monde diplomatique et Acrimed (Jérémie Fabre, Cécile Marin, Yann Bureller, avec Guillaume Barou, Boris Séméniako, Suzy Gaidoz, Vincent Caron, Marie Beyer). Source https://www.monde-diplomatique.fr
Rôle de la télévision un « rôle intégrateur ». Elle renvoie aux ethnies l’image d’une façon d’être et de vivre ensemble. Les informations, les émissions en direct ou en quasi direct font que les populations voient dans le poste de télévision un miroir, un reflet et en même temps des propositions sur ce qui fait qu’elles se trouvent dans une collectivité. Soucieux, en général, de tenir un discours moyen recevable par le plus grand nombre, le petit écran joue actuellement une véritable fonction intégratrice. Il brise l’isolement de certaines catégories de la population. Grâce à la force de conviction de l’image et du direct, elle conforte l’impression de l’auditeur d’avoir participé à l’événement ou au débat. Elle ne suscite pas seulement l’assentiment mais, au-delà, l’identification. Identification qui se joue sur l’instant, de part et d’autre du récepteur. Mais identification qui se noue également entre téléspectateurs au terme des transactions qui s’ébauchent le lendemain dans les éc...