Après Fralib, Unilever France projette en 2013 un nouveau plan social qui prévoit 152 suppressions de postes dans l'Hexagone, soit 12% des effectifs, a annoncé lundi l'intersyndicale.
La direction d'Unilever France n'était pas joignable dans l'immédiat, comme le précise l'AFP. Unilever France -1.230 salariés- entend supprimer 87 postes de cadres et 65 postes d'agents de maîtrise, répartis au siège et dans les ventes. Ces postes seront en partie transférés aux Pays-Bas, indique l'intersyndicale (CFE-CGC, CFDT, CFTC, CGT, FO). Elle souligne qu'il s'agit du "8eme plan social chez Unilever France depuis 2005, plans qui ont conduit à diviser par deux les effectifs depuis cette date".
La direction prévoit un plan de départs volontaires dans le cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), selon les syndicats.
"Le Groupe Unilever Monde a pourtant annoncé d'excellents résultats en 2012, salués par la Bourse (valeur de l'action : +25% en 1 an)", souligne l'intersyndicale dans un communiqué, et "la France a elle vu ses ventes augmenter de 3,5% en 2012, et caracole en tête des Pays Européens Unilever pour la croissance de ses ventes depuis 3 ans".
"C'est au moment où tout va bien qu'on dit "il faut changer une équipe qui gagne et qu'il faut encore gagner plus", donc il y a quand même une volonté de satisfaire l'actionnaire", a commenté Jean-Jacques Le Priol (CFE-CGC). "On est très attaché à ce que le PSE soit proportionnel aux moyens d'Unilever qui en 2012 se porte très bien", a dit le délégué central.
La généralisation n'a jamais eu lieu, bien au contraire : le nombre de communes utilisant des machines à voter a régressé depuis 2007, passant de 84 à 64, soit de 1,5 million à un million d'électeurs concernés, d'après les chiffres de l'Association des maires de France . En mars 2008, après un premier bilan mitigé du Conseil constitutionnel, le ministère de l'intérieur a gelé la liste des communes autorisées à utiliser des machines à voter , et fixé de nouvelles règles contraignantes pour leur utilisation. "On a un peu diabolisé les machines à voter" , se désole Hervé Palisson, le directeur de France élection, le principal distributeur de ces machines en France. "Certaines villes qui avaient choisi nos équipements, comme Lorient, en ont eu assez des polémiques au sein du conseil municipal et du harcèlement d'une poignées de citoyens." La ville utilise les machines pour certaines élections, mais pas de manière systématique. Depui...
Dernière mise à jour : version 20.2, Avril 2025 Ce graphique prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui, pour la plupart, dépendent d’intérêts industriels ou financiers, ou de l’État : publications (principalement) généralistes nationales, quotidiens et hebdomadaires régionaux, médias en ligne, audiovisuel national et quelques chaînes de télévision locales. Les titres et groupes de presse indépendants ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires et décideurs. Documentation et réalisation : Le Monde diplomatique et Acrimed (Jérémie Fabre, Cécile Marin, Yann Bureller, avec Guillaume Barou, Boris Séméniako, Suzy Gaidoz, Vincent Caron, Marie Beyer). Source https://www.monde-diplomatique.fr
Les fonds du plan de relance Next Generation UE, adopté lors de l’épidémie de Covid-19, tardent à arriver à destination. Mars 2025 En pleine pandémie de Covid-19, les dirigeants européens avaient surpris en mettant sur pied à l’été 2020, un plan de relance économique inédit baptisé « Next Generation EU ». Une initiative exceptionnelle par son montant – 750 (723,8) milliards d’euros à dépenser avant la fin 2026 – et par son mode de financement. Pour la première fois en effet, tous les Etats membres de l’Union européenne acceptaient de s’endetter en commun pour aider en priorité les pays les plus affectés par la crise sanitaire, Italie et Espagne en tête. Et ce, via des subventions et des prêts reversés à échéance régulière par Bruxelles aux Etats en fonction de la réalisation d’objectifs de réformes et d’investissements convenus dès le départ. Ces derniers n’avaient pas seulement vocation à répondre aux urgences de la crise sanitaire, mais plus largement à re...