La célèbre université Harvard aux Etats-Unis accueille depuis peu un
nouveau club pour le moins original. Baptisé "Munch", il est dédié au
sadomasochisme. Tout un programme!
REUTERS/Jessica Rinaldi
A 10 000 lieues de l'image du rat de bibliothèque, des étudiants de la très prestigieuse université américaine de Harvard viennent d'y créer un club un peu spécial, dédié au sadomasochisme.
Le groupe, baptisé "Munch", détonne à côté d'autres clubs approuvés fin novembre par le comité de la vie étudiante de l'établissement du Massachusetts (nord-est), comme le club des mathématiciens ou celui des férus de bandes dessinées.
S'attaquer aux stéréotypes
"Munch" désigne aux Etats-Unis des groupes de discussions "sado-maso", qui existent à travers tout le pays. Ce club d'un nouveau genre sur le campus de l'université la plus prestigieuse des Etats-Unis - où se sont rencontrés Michelle et Barack Obama - promet de s'attaquer aux stéréotypes concernant le sadomasochisme en offrant des "connaissances précises sur les sexualités alternatives", écrit-il sur le site des étudiants d'Harvard.
A cette fin, le Munch de Harvard compte organiser des projections de films et des discussions, ainsi qu'offrir un "espace où les étudiants adultes peuvent rencontrer leurs pairs". Mais l'association prétend vouloir rester un simple espace de rencontres, et non se transformer en lieu de débauche. Sont ainsi interdits les "contacts sexuels de quelque nature que ce soit" lors des événements organisés officiellement, est-il indiqué sur les statuts de l'association.
Avoir pignon sur rue
Les fondateurs de ce Munch ont fait valoir qu'il était temps que leur passion jusque-là inavouable puisse avoir pignon sur rue, tout comme c'est le cas de "groupes consacrés à l'abstinence".
Le sadisme, nommé d'après le libertin marquis de Sade (1740-1814), décrit l'obtention du plaisir par des actes de cruauté ou de domination; le masochisme, son contraire, puise entre autres son inspiration dans les écrits de l'Autrichien Leopold von Sacher-Masoch (1836-1895), dans son oeuvre érotique La Vénus à la fourrure, parue en 1870.
La généralisation n'a jamais eu lieu, bien au contraire : le nombre de communes utilisant des machines à voter a régressé depuis 2007, passant de 84 à 64, soit de 1,5 million à un million d'électeurs concernés, d'après les chiffres de l'Association des maires de France . En mars 2008, après un premier bilan mitigé du Conseil constitutionnel, le ministère de l'intérieur a gelé la liste des communes autorisées à utiliser des machines à voter , et fixé de nouvelles règles contraignantes pour leur utilisation. "On a un peu diabolisé les machines à voter" , se désole Hervé Palisson, le directeur de France élection, le principal distributeur de ces machines en France. "Certaines villes qui avaient choisi nos équipements, comme Lorient, en ont eu assez des polémiques au sein du conseil municipal et du harcèlement d'une poignées de citoyens." La ville utilise les machines pour certaines élections, mais pas de manière systématique. Depui...
Dernière mise à jour : version 20.2, Avril 2025 Ce graphique prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui, pour la plupart, dépendent d’intérêts industriels ou financiers, ou de l’État : publications (principalement) généralistes nationales, quotidiens et hebdomadaires régionaux, médias en ligne, audiovisuel national et quelques chaînes de télévision locales. Les titres et groupes de presse indépendants ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires et décideurs. Documentation et réalisation : Le Monde diplomatique et Acrimed (Jérémie Fabre, Cécile Marin, Yann Bureller, avec Guillaume Barou, Boris Séméniako, Suzy Gaidoz, Vincent Caron, Marie Beyer). Source https://www.monde-diplomatique.fr
Rôle de la télévision un « rôle intégrateur ». Elle renvoie aux ethnies l’image d’une façon d’être et de vivre ensemble. Les informations, les émissions en direct ou en quasi direct font que les populations voient dans le poste de télévision un miroir, un reflet et en même temps des propositions sur ce qui fait qu’elles se trouvent dans une collectivité. Soucieux, en général, de tenir un discours moyen recevable par le plus grand nombre, le petit écran joue actuellement une véritable fonction intégratrice. Il brise l’isolement de certaines catégories de la population. Grâce à la force de conviction de l’image et du direct, elle conforte l’impression de l’auditeur d’avoir participé à l’événement ou au débat. Elle ne suscite pas seulement l’assentiment mais, au-delà, l’identification. Identification qui se joue sur l’instant, de part et d’autre du récepteur. Mais identification qui se noue également entre téléspectateurs au terme des transactions qui s’ébauchent le lendemain dans les éc...